Bogotá
Une capitale
Une capitale
Une ville de couleurs !
Un événement relatif d’une beauté absolue
Juste pour la beauté de la chose.
Un hommage abstrait.
En construction est une série sur ces manoeuvres de chantier de l’Asie du Sud-Est. Ils sont souvent émigrés illégaux et vivent dans le site de construction ou dans des sortes de cabanes en tolle. Souvent sans papiers et avec un salaire excédant rarement 150 euros en Thailande, ils restent en marge de la société, de toute vie sociale extérieure et reste dans leurs confinements.
NB: Les dernières photos sont d’Inde.
La lumière telle que nous la percevons avec nos yeux est une pâle image de la lumière telle que nous pouvons l’expérimenter.
Les limitations de nos sens physiques peuvent être effacées pour notre plus grand délice.
Il n’y a rien à comprendre. Il y a juste l’expérience.
Puisque la lumière vient de l’intérieur et est toujours présente, même dans les profondeurs de l’obscurité et les affres de l’être, je vous invite à briser les limitations des perceptions habituelles pour remplir votre âme de l’essence pure de la lumière. Elle n’est pas cachée dans ces photographies. Elle est disponible partout. Elle est inscrite en vous.
À travers cette série photographique, je vous invite à voir ces miroirs, à la fois matériels et projetés par l’esprit, pour voir comment ils affectent notre façon de voir les événements.
Les réflexions photographiques sont de bonnes analogies pour les vues déformées que nous avons de la réalité.
Notre esprit, nos perceptions, nos sens, nos croyances tordent, filtrent ce qui est. La vérité est fragmentée. Nous ajustons notre esprit pour voir ce que nous voulons voir.
Les photos sont aussi des filtres. En sélectionnant un cadre et omettant le reste, la scène n’est plus complète. La mise au point, l’angle, la balance des couleurs, les contrastes, l’ouverture, l’exposition, la sensibilité et autres facteurs influencent le résultat.
Au final, c’est la sélection de tous les paramètres qui donne la vision. Nous faisons cela dans notre vie de tous les jours.
La beauté, la joie, l’amour sont partout et une simple paroi réfléchissante peut les révéler. Soyons cette réflexion.
L’eau est source de toute vie telle que nous la connaissons. Notre relation à elle révèle la relation que nous entretenons avec la vie.
Nous vivons dans un monde fait d’énergie. Les pensées sont énergie. Elles créent et influencent la matière, elle aussi faite d’énergie. La structure moléculaire de l’eau est donc sensible et réagit à nos pensées.
Puisque l’amour de la vie est essentiel à notre bonheur, aimer et être reconnaissant à sa source est fondamental.
Nous sommes principalement constitués d’eau. Nous pouvons donc nettoyer notre corps, nos cellules polluées, nos mémoires inconscientes en rectifiant nos pensées. À travers « Traces d’eau », je vous invite à poser un regard nouveau, tendre, sur la nature de la vie et la relation que vous entretenez avec elle.
Guérissons-nous de la plus simple des manières. Tout ce qui est nécessaire est d’aimer notre élément le plus essentiel qui est une bénédiction et de le traiter avec respect.
Les photographies floutées sont d’ordinaire des actes manqués lors d’action trop rapide pour être correctement prises. Mais ce peut aussi être un choix créatif. Tous les flous ne se valent pas. Un flou peut rendre une photographie plus vibrante, vivante, mystérieuse. Les photographies suivantes sont le fruit d’une recherche des ces oeuvres manquées.
Ces marchés sont des endroits animés ou la vie fourmille. Ils sont bondés de gens haut en couleur, de marchandises, d’arômes, d’odeurs et de bruits. L’hygiène n’est pas des plus hauts standards, ce qui ne dérange pas le moins du monde la population locale et ne gâche en rien ce chaos charmant, en tout cas pour les estomacs bien accrochés.
Les animaux sont représentatifs de notre nature instinctuelle. Ils sentent, réagissent à leur environnement avec plus de spontanéité parce qu’ils sont moins facilement conditionnés aux règles sociales que l’on impose. Ils s’adaptent du mieux qu’ils peuvent dans ces mondes que nous créons et l’espace que nous leur laissons. Nous pouvons voir en eux notre propre asservissement ou notre liberté.
La plupart de notre vie nous errons dans le noir, nous demandant ce qui va prochainement nous arriver, pensant à ce qui nous est déjà arrivé et négligeant ce qui est maintenant. Nous regrettons, nous projetons et nous oublions de tout simplement vivre.
La vie n’est pas une ligne. C’est un moment en perpétuel mouvement qui prend place maintenant.
Visitons ces parties sombres de notre inconscient. Là, nous stockons toutes nos mémoires, nos espérances, nos déceptions.
À la lumière de la compréhension, de l’acceptation, très rapidement nous vivrons dans un monde plus clair.
Évitons de créer ces mauvaises mémoires et ces fausses espérances. Cela nous amène seulement de l’amertume et des déceptions.
Tout ce qui doit être rectifié va resurgir pour que nous puissions nettoyer le chantier. Tout ce que nous espérons pour nous-mêmes va se former. Mais à une seule condition : Que nous vivions le moment présent avec joie, confiance et amour.
Les lignes et formes dirigent nos sens, les élèvent de temps à autre mais d’ordinaire nous met en cage.
J’ai joué le jeu, me suis laissé piéger pour mieux les cadrer, révéler leur existence et effets inconscients qu’ils jouent sur notre vie de tous les jours.
En regardant notre esprit lutter avec ces lignes et formes, je vous invite à observer vos pensées, à vous libérer et retourner ces pièges illusoires dans le néant auquel ils appartiennent. Évitons de former ces mondes que nous ne désirons pas.
Cette série est une vue d’oiseau de scènes de vie se déroulant en bas. Un autre point de vue entraînant une différente lecture, cet angle donne un autre aperçu, une vision alternative de l’intéraction ou du manque d’intéraction du sujet avec un ou des autres ou dans leur environnement.
Parfois abandonnées, parfois toujours en utilisation, il y a derrière ces façades quelque chose d’énigmatique, le seuil d’un monde encore inconnu, un petit univers caché ou oublié.
A travers cette série, je veux rendre hommage aux petits métiers des rues d’Asie qui ont pour la plupart disparus des rues des pays occidentalisés. Je veux rendre hommage à ces travailleurs du quotidien, à leurs mains, réflexion de leur travail, de leur vie, de leur état d’esprit matérialisé. L’ont peut y voir la rudesse de leur labeur et la précision de leurs gestes, la délicatesse du travail précis et l’automatisme de la tâche répétée, intégrée jusque dans leur peau.
Il y a ces mains qui sculptent et transforment, qui détruisent et construisent, qui sèment et récoltent, qui donnent et reçoivent. Il y a ces mains sans lesquelles nous n’aurions presque sinon rien.
Des stuppas au Népal, au pied de l’arbre ou Bouddha atteignit l’illumination à Bodhgaya, dans une église chrétienne ou altars des Philippines et dans la beauté d’autres endroits et paysages, voici quelques lieus ou l’on jurerait qu’il y a quelque chose de divin dans l’air.
Nous sommes des êtres réels vivant dans des mondes illusoires.
Cette série photographique est une tentative d’entrevoir la réalité de ce qu’est Être un être humain. Les différences dans la façon de vivre, de penser, de notre apparence ne sont rien en comparaison des similarités que nous partageons.
De tout ce que je sais, je ne sais rien. Tout « est » et « est » seulement. Maintenant.
Les jugements, perceptions, pensées sont une pâle réflexion de ce qui est réellement. Nous avons besoin de nous ouvrir aux autres, reconnaître notre réel don de vie, d’Être, de nous aimer nous-mêmes pour ce que nous sommes afin de pouvoir aimer et respecter les autres pour ce qu’ils sont.
Dans ces photographies, j’essaie d’extraire des vrais moments, où les personnes n’utilisent pas les poses habituelles et m’ont offert, au-delà du rôle social qu’elles jouent d’ordinaire, un aperçu de qui elles sont réellement.
La vie est belle lorsque accueillie et vécue pleinement. La vie est pure conscience, est immortelle, réside à l’intérieur et même crée la matière pour des raisons pratiques. En elle-même, la vie est sans reproche. C’est la façon dont nous la menons, ce que nous pensons donc attirons ou laissons faire qui doit être repensée.
Il n’y a pas de situations qui ne soient pas censées arriver. Souvent nous ne comprenons pas les raisons pour lesquelles elles arrivent mais toutes les sources de souffrances sont éducationnelles et temporelles. Elles subsistent et se répètent jusqu’à ce que nous nous rappelions qui nous sommes, ce que nous pouvons surpasser, sublimer.
Ainsi est la vie. C’est une organisation intelligente, sans jugement, de chaque chose et de l’ensemble qui nous pousse à évoluer en déconstruisant parfois les parties statiques, encombrées de peur, de notre inconscient. Le sentiment d’injustice réside dans la non compréhension de ce sujet.
Nous n’avons pas de limites. Nous sommes énergie omnipotente et omnisciente en action, transformateurs de pensées en formes physiques, concepteur de notre propre corps, de notre propre réalité, créateur de plus de vie. Ceci est le vrai don de la Vie.
La vie est belle lorsque accueillie et vécue pleinement. La vie est pure conscience, est immortelle, réside à l’intérieur et même crée la matière pour des raisons pratiques. En elle-même, la vie est sans reproche. C’est la façon dont nous la menons, ce que nous pensons donc attirons ou laissons faire qui doit être repensée.
Il n’y a pas de situations qui ne soient pas censées arriver. Souvent nous ne comprenons pas les raisons pour lesquelles elles arrivent mais toutes les sources de souffrances sont éducationnelles et temporelles. Elles subsistent et se répètent jusqu’à ce que nous nous rappelions qui nous sommes, ce que nous pouvons surpasser, sublimer.
Ainsi est la vie. C’est une organisation intelligente, sans jugement, de chaque chose et de l’ensemble qui nous pousse à évoluer en déconstruisant parfois les parties statiques, encombrées de peur, de notre inconscient. Le sentiment d’injustice réside dans la non compréhension de ce sujet.
Nous n’avons pas de limites. Nous sommes énergie omnipotente et omnisciente en action, transformateurs de pensées en formes physiques, concepteur de notre propre corps, de notre propre réalité, créateur de plus de vie.
Ceci est le vrai don de la Vie.
Nous sommes des êtres réels vivant dans des mondes illusoires.
Cette série photographique est une tentative d’entrevoir la réalité de ce qu’est Être un être humain. Les différences dans la façon de vivre, de penser, de notre apparence ne sont rien en comparaison des similarités que nous partageons.
De tout ce que je sais, je ne sais rien. Tout « est » et « est » seulement. Maintenant.
Les jugements, perceptions, pensées sont une pâle réflexion de ce qui est réellement. Nous avons besoin de nous ouvrir aux autres, reconnaître notre réel don de vie, d’Être, de nous aimer nous-mêmes pour ce que nous sommes afin de pouvoir aimer et respecter les autres pour ce qu’ils sont.
Dans ces photographies, j’essaie d’extraire des vrais moments, où les personnes n’utilisent pas les poses habituelles et m’ont offert, au-delà du rôle social qu’elles jouent d’ordinaire, un aperçu de qui elles sont réellement.